Mots-clés : aneroless
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30 août 2024 à 19 h 26 min #50634bzoParticipant
je m’installe de plus en plus
dans le plaisir au féminin,
prends mes aises toujours plus,
le découvre chaque jour un peu plus
car il s’agit bien de cela,
cet immeuble a tellement de pièces,
est tellement un véritable dédale
qu’il faut l’explorer avec patience
pour en découvrir peu à peu
toute la richesse et le potentiel
31 août 2024 à 0 h 43 min #50635bzoParticipantma queue dressée,
au féminin,
comme elle vibre différemment,
comme elle vibre différemment
elle est un petit bâton de dynamite,
enveloppée parmi mes cuisses
qui explose,
à force de petites pressions et frottements,
en continu,
avec une telle douceur,
une telle douceur
jusqu’au moment
où mes entrailles semblent se liquéfier,
se répandre un peu aux alentours
tandis que mes gémissements semblent un chant,
que mes gémissements semblent un chant
j’offre mes tripes
sous forme liquide, aux alentours
elles n’enfantent pas,
elles dansent un peu à l’air libre,
dansent un peu à l’air libre
31 août 2024 à 11 h 52 min #50636bzoParticipantj’évoque au-dessus ma queue dressée, au féminin,
ma petite pompe à ondes raidie, aux veines saillantes
que je cajole entre mes cuisses,
que je fais rouler doucement, lentement, entre elles,
que je presse, que je frotte, que j’asticote
dont le gland semble devenir de plus en plus pourpre,
au fur et à mesure,
dont je vois la hampe turgescente,
de temps à autre émerger d’entre mes cuisses,
comme glissant sur des roulements à billes
drôle de plante de chair, de nerfs et de sang,
à la pousse extra-rapide,
montant du terreau fertile de la volupté
partouze généralisée au niveau de mes cellules,
mes hanches marquent le tempo,
imprime le rythme,
lancinant chaloupage,
danse sexuelle entre mes reins,
avec mon petit bâton raidi
comme celui d’une majorette,
valsant par moments,
à gauche, à droite, vers le haut, vers le bas
il dodeline de la tête, le bougre
se penche sur le côté, se penche vers l’avant,
acquiesce, frémit,, frémit, frémit,
se détend un peu,
se raidit au maximum, à nouveau
mon petit bélier adoré,
en tout cas par moi,
temps de cracher ton petit nuage laiteux,
je me cabre, je rue, je suis pris de convulsions,
je hurle, je miaule, je rugis,
du feu liquide se ruant partout en moi,
des tonnes semblent jaillir de mes reins
mais non, c’est juste un petit jet ou deux,
quelques gouttes sur le drap
31 août 2024 à 12 h 10 min #50637bzoParticipantil y a un voyage dans l’invisible,
là, dans l’instant,
n’importe où, n’importe quand,
qui vaut toutes les destinations exotiques
du monde
1 septembre 2024 à 10 h 13 min #50638bzoParticipant“suivre parfaitement le rythme, c’est le créer,
créer le rythme, c’est le suivre parfaitement”
j’ai toujours cette sensation quand tout fonctionne bien,
quand tout fonctionne comme il faut,
optimalement, (optifémininement, ha, ha, ha),
c’est de suivre un rythme,
un rythme même, montant de mes profondeurs,
en même temps que de le créer,
que de le créer avec mes actions, en surface
quand tout fonctionne parfaitement bien,
on a cette sorte de curieuse, étrange, enivrante, sensation
en même temps, que nos actions sont totalement improvisées
et en même temps qu’elles sont comme dirigées de quelque part
on se sent différemment dans l’espace,
on se sent différemment dans le temps qui s’écoule, aussi,
un peu comme de côté,
un peu comme ayant fait un pas de côté,
alors qu’en fait, c’est tout le contraire,
dans ces moments-là,
on est vraiment dans l’espace
et vraiment dans le temps qui s’écoule,
on est n’est plus décalé par rapport à eux,
décalé par la bulle dans laquelle on vit habituellement,
créée par notre intellect
dans ces moments, on est vraiment là,
dans le torrent calme et invisible du présent,
on perçoit ce que l’on fait
et on fait ce que l’on perçoit,
et ainsi, on est vraiment là,
comme à nu dans l’instant,
comme à nu dans l’espace,
on est prêt à ressentir et à vivre,
la communion du corps et l’esprit
et le temps qui s’écoule, ainsi,
semble se transformer en sensation de plaisir,
ne plus exister en tant que temps qui s’écoule,
semblant s’être arrêté , donc,
pour se vivre en sensation de plaisir
en agissant, on crée
et en percevant,
on perçoit l’action qui vient d’être créée,
les deux, dans ces moments,
se superposent
et donc on a cette impression
d’instantanéité étrange, grisante,
entre la perception de l’action
et sa création
c’est le signe que le corps et l’esprit,
sont parfaitement unis,
parfaitement complices,
qu’ils fonctionnent optimalement,
ensemble,
dans un même élan
vos actions sont dirigées par votre percetion
et vice et versa,
votre perception est dirigée par vos actions
1 septembre 2024 à 11 h 36 min #50639bzoParticipantla réalité durant le temps du plaisir,
semble beaucoup plus être façonnée par notre perception
qu’habituellement
on pourrait même dire que notre réalité
durant le temps du plaisir,
est tout entièrement façonnée par notre perception,
nous vivons dans sa réalité,
pour un moment
et aussi longtemps que possible,
on voudrait y rester, on se sent bien, on se sent entier,
on est envahi, bien sûr, par la volupté,
par la jouissance, par moments
mais elle est fuyante, évanescente,
irrésistiblement,
malgré sa toute puissance sur nous, dans ces moments,
malgré la flamboyance de son univers
la toute puissance,
dans l’instant de l’extase et de la volupté,
de la perception,
est magnifique à vivre
car elle ouvre toutes sortes de portes en nous
auxquelles habituellement on n’a pas accès
cependant elles exigent d’être refermées,
rapidement, inexorablement,
nous laissant, un instant, infiniment dépité
baignant encore dans l’evanescence
de ce qu’on a vécu, de ce qu’on a perçu
et de ce qu’on a cru entrevoir
“ces quelques instants vécus dans la chair,
loin de la maison-mère”,
on est en tenté de se dire,
portant encore en soi,
les traces de la magnificence absolue
de nos extases, sexuelles ou pas
1 septembre 2024 à 12 h 13 min #50640bzoParticipantpar l’intermédiaire des ondes
générées d’un peu tous les côtés,
on fait dialoguer les organes,
entre eux, dans l’invisible
on fait dialoguer la prostate avec la peau,
avec l’anus, avec les épaules,
avec les cuisses, avec les cheveux, avec les fesses,
avec les seins, avec les tétons, avec les génitaux,
etc,etc
cela change constamment,
cela doit changer constamment,
certains deviennent muets pour un temps,
d’autres entrent dans la danse,
certains jouent plus de notes, d’autres moins,
certains jouent plus haut à certains moments,
plus bas à d’autres,
c’est ainsi que l’orchestre du corps et de l’esprit,
animé par le désir, motorisés par les énergies,
font monter les notes,
font monter la musique
1 septembre 2024 à 18 h 32 min #50643bzoParticipantde retour chez moi,
après quelques heures dans la chaleur assommante,
de cette journée de canicule de tout début de septembre
première chose que j’ai faite,
c’est de me mettre sous la douche,
l’eau tiède, presque froide,
bientôt dévalant partout sur ma peau,
une telle sensation d’ineffable soulagement s’empara de tout mon être
qui s’accentuant encore prodigieusement,
se transformant carrément en volupté
quand mes cuisses vinrent envelopper et presser
doucement mes génitaux
je me surpris à gémir sous la douche
mes mains passaient et repassaient lentement dans mes cheveux
et mes hanches s’étaient mis à onduler doucement
délicieux mouvement de balancier
tout au ralenti,
je semblais me bercer,
me bercer de plus en plus dans un plaisir
un nid de chaleur soyeuse
dans lequel j’étais installé
tandis que m’enveloppait le rideau liquide
qui refroidissait ineffablement ma peau
2 septembre 2024 à 7 h 40 min #50645bzoParticipantredécouvrir chaque jour son corps
bien l’explorer,
c’est se rendre compte
à quel point , avec chaque jour qui passe,
il est capable de se renouveler
c’est comme un pianiste
qui jouerait depuis le premier jour,
sur le même instrument,
il le connait par coeur, oui
mais à chaque fois que les grappes des notes commencent à s’élever,
la musique semble différente
car ses doigts sont libres, suprêmement libres,
ils sont reliés à son coeur et à ses tripes
3 septembre 2024 à 1 h 19 min #50646bzoParticipantles pieds sur la table,
je me frotte machinalement, lentement,
une jambe contre l’autre
tout en regardant un petit film
j’adore tellement sentir les peaux
avec les poils écrasés entre elles,
se mouvoir l’une tout contre l’autre,
cela fait comme un froissement délicieux,
fines vaguelettes de soie
qui se répandent pas loin de la surface
plus haut, les couilles et le pénis,
sont massés aussi, avec le même mouvement,
un peu, entre les cuisses
un petit peu de volupté,
pour m’accompagner tout le long du film,
de temps à autre,
je laisser aussi mes doigts errer sur la poitrine,
cela allume tout de suite plein de canaux en moi,
les choses deviennent immédiatement plus sérieuse,
mes hanches, tout de suite,
automatiquement se mettent à bouger
le plaisir est devenu tellement un compagnon de tous les instants,
de temps à autre, j’augmente le volume,
à d’autres, je le garde baissé
mais rarement je l’éteins complètement
quand je suis seul à la maison
il se sent bien en ma compagnie,
il m’a adopté, je l’ai adopté
je le nourris et il me nourrit
5 septembre 2024 à 8 h 16 min #50647bzoParticipantle plaisir
est comme une pieuvre géante en moi,
dès que la machinerie se met en route,
je la sens qui se met à bouger,
qui se met à mouvoir
ses millions de tentacules de soie
oh, pas toujours toutes en même temps,
parfois oui,
parfois juste quelques unes,
parfois même, juste une,
juste une
elle glisse en moi,
se faufile un moment,
passant d’un organe à l’autre,
d’un tissu à l’autre,
d’une artère dans un os,
explore tout cela minutieusement,
farfouille joyeusement parmi tout cela
avant que d’aller rejoindre
ses petits camarades
pour un moment de symphonie débridée,
un moment de folie
ah quand elles se mettent à bouger toutes ensemble,
je la sens vraiment partout en même temps,
pas une cellule n’est oubliée,
pas une cellule n’est oubliée, non
la mer, me direz-vous,
je vous parle de la mer,
tout à fait, je vous répondrai,
tentative de description de la mer,
de ma part
mais aussi d’une petite vague
qui a couru, un moment, toute seule
ou bien d’une petite bande
qui ont fait cavalier seul, un moment,
qui ont folâtré mutinement,
un moment, à part
5 septembre 2024 à 8 h 32 min #50648bzoParticipantpour le privilège d’être un moment avec son corps,
pour le privilège d’être un moment, entier,
pour le privilège d’être un moment,
tout entier, en partage
le plaisir
comme un moment,
non plus,
d’ultime égoïsme
mais comme un moment
d’être tout entièrement ensemble
5 septembre 2024 à 8 h 36 min #50649bzoParticipantle plaisir,
c’est s’offrir,
c’est s’offrir,
en partage
5 septembre 2024 à 8 h 42 min #50650bzoParticipantà soi-même
ou à d’autre(s)
5 septembre 2024 à 8 h 45 min #50651bzoParticipantne jamais prendre,
ne jamais prendre,
juste s’offrir
tout seul
ou à plusieurs
6 septembre 2024 à 0 h 17 min #50652bzoParticipanttout le long de la soirée,
je m’offre plein, mais alors, vraiment plein,
de courts moments de volupté,
de courts moments de sensations riches et variées
cela dure maximum une trentaine de secondes
mais elles sont tellement intenses,
le désir en fractionné,
je lui réponds du tac au tac
dès qu’il montre le bout de son nez
cela me suffit pour l’instant,
pas besoin de plus,
la qualité du plaisir est telle,
vraiment pas besoin de plus,
c’est comme si je décochais à chaque fois
une flèche
et qu’au bout de quelques secondes,
sa pointe s’enfonçait dans le centre d’une cible,
alors je suis content, je m’arrête
je rassasie ma chair, comme cela,
à petites gorgées
mais finalement, sur une journée,
il y a une superbe quantité de volupté
qui est passée par les tuyaux,
de quoi avoir les reins comblés
6 septembre 2024 à 21 h 20 min #50654bzoParticipantaprès une journée de travail,
dehors, dans ma boîte,
on a déménagé dans une des plus hautes tours de Bruxelles,
cela m’a paru interminable,
trop habitué au télétravail,
suis enfin rentré en fin d’après-midi
pris une douche,
décompressé un peu devant l’écran
mais me suis commencé
à vraiment me sentir chez moi,
quand j’ai repris le contact avec mon corps,
que je me suis caressé un peu,
fait monter quelques contractions,
laissé les cuisses jouer avec les génitaux
là, je me suis vraiment senti chez moi,
avec les centaines de livres tout autour
les vases, les tableaux, les sculptures, les oeuvres d’art diverses
et puis la volupté en moi,
là je me suis senti vraiment chez moi,
engoncé dans mon nid douillet
où tout peut m’arriver,
où rien ne peut m’arriver
7 septembre 2024 à 8 h 10 min #50655bzoParticipantla main qui me caresse,
m’appartient ou ne m’appartient pas,
qu’est-ce que j’en sais
la houle qui anime mes reins,
est au masculin ou au féminin,
qu’est-ce que j’en sais
le sexe que je ressens,
là-bas en bas, en action,
est un pénis ou un vagin,
qu’est-ce que j’en sais
oser laisser le désir
se gambader tout seul en nous,
sans le guider aucunement,
on devient à la fois, autant pointu(e)
que fendu(e)
mon sexe est magnifique
mon sexe est une fleur tropicale extravagante
à la fois raide, turgescent,
humide, entrouvert, soyeux et labyrinthique
on perçoit de fond en comble,
on est en surrégime, le turbo est enclenché,
on ressent sur tout le spectre
et le plaisir devient fou, fou, fou
parvenir à l’indécision du genre,
dans son corps,
éveille une volupté toute particulière,
on est ni homme, ni femme,
on est un peu beaucoup,
un peu beaucoup des deux,
on contrôle l’incontrôlable,
l’incontrôlable nous contrôle
7 septembre 2024 à 8 h 19 min #50656bzoParticipantversion légèrement modifiée
la main qui me caresse,
est masculine ou féminine,
m’appartient ou ne m’appartient pas,
qu’est-ce que j’en sais
la houle qui anime mes reins,
est au masculin ou au féminin,
m’appartient ou ne m’appartient pas,
qu’est-ce que j’en sais
le sexe que je ressens,
là-bas, en bas, en action,
est un pénis ou un vagin,
m’appartient ou ne m’appartient pas,
qu’est-ce que j’en sais
oser laisser le désir
se gambader tout seul en nous,
sans le guider aucunement,
on devient à la fois, autant pointu(e)
que fendu(e)
mon sexe est magnifique
mon sexe est une fleur tropicale extravagante
à la fois raide, turgescent,
humide, entrouvert, soyeux et labyrinthique
on perçoit de fond en comble,
on est en surrégime, le turbo est enclenché,
on ressent sur tout le spectre
et le plaisir devient fou, fou, fou
parvenir à l’indécision du genre,
dans son corps,
éveille une volupté toute particulière,
on est ni homme, ni femme,
on est un peu beaucoup,
un peu beaucoup des deux,
on contrôle l’incontrôlable,
l’incontrôlable nous contrôle
7 septembre 2024 à 8 h 26 min #50657bzoParticipantallez, dernière version
la main qui me caresse,
est masculine ou féminine,
m’appartient ou ne m’appartient pas,
qu’est-ce que j’en sais
la houle qui anime mes reins,
est au masculin ou au féminin,
m’appartient ou ne m’appartient pas,
qu’est-ce que j’en sais
le sexe que je ressens,
là-bas, en bas, en action,
est un pénis ou un vagin,
m’appartient ou ne m’appartient pas,
qu’est-ce que j’en sais
oser laisser le désir
se gambader tout seul en nous,
sans le guider aucunement,
on devient à la fois, autant pointu(e)
que fendu(e)
mon sexe est magnifique
mon sexe est une fleur tropicale extravagante
à la fois raide, turgescent,
humide, entrouvert, soyeux et labyrinthique
parvenir à l’indécision du genre,
dans son corps,
éveille une volupté toute particulière,
on est ni homme, ni femme,
on est un peu beaucoup,
un peu beaucoup des deux,
on contrôle l’incontrôlable,
l’incontrôlable nous contrôle
on perçoit de fond en comble,
on est en surrégime, le turbo est enclenché,
on ressent sur tout le spectre
et le plaisir devient fou, fou, fou
7 septembre 2024 à 8 h 36 min #50658bzoParticipantsi vous pouviez me voir,
vous me verriez juste bouger des hanches,
presser un peu les génitaux avec les cuisses,
laisser les mains courir sur le corps
en étant très attentif,
peut-être pourriez-vous même voir
les muscles du périnée, chez moi, qui se contractent très régulièrement
mais c’est peu probable que ce soit visible, en fait
mais c’est ce que vous ne voyez pas ,
c’est le plaisir que je suis en train de me sculpter avec tout cela,
la volupté que je suis en train de me mouler à l’intérieur,
les sensations si spéciales que je suis en train de vivre
enfin, si vous avez des oreilles et des tripes,
vous pourriez tout de même un peu les deviner,
en fait, si vous pouviez bien m’entendre,
je vous défie de ne pas bander
ou de ne pas avoir la chatte complètement humide,
instantanément
7 septembre 2024 à 9 h 53 min #50659bzoParticipantdéplacer toujours à la bonne vitesse, son corps
ou même juste un membre ou même juste un doigt,
même juste contracter un muscle,
n’importe lequel
c’est prendre , selon les moments,
le rythme d’un escargot grabataire
ou celui d’un colibri qui aurait sniffé du speed
imaginez-vous, un colibri,
déjà un oiseau qui se déplace à la vitesse de l’éclair,
changeant la direction de son vol,
avant même que vous ayez pu vous en rendre compte,
accélérant et décélérant, follement, en un clin d’oeil
eh bien imaginez,
le long, le très long , le très long et fin bec, du colibri,
un instant,
dans une fleur dont le pollen serait du speed
et imaginez-le, l’instant d’après
donc, se déplacer toujours à la bonne vitesse,
avoir un rythme toujours déterminé
par l’élan massif d’un désir de fond,
pas juste dans la frénésie de jouir le plus vite possible
être accordé à son corps,
totalement à son écoute,
l’action et le ressenti, totalement synchronisés,
l’action et le ressenti, en couple,
guides suprêmes à la manoeuvre
alors, ainsi, balloté au gré des vagues,
sur l’océan du plaisir,
totalement hors de contrôle
et en même temps, totalement en contrôle,
vous bougez tantôt, à la vitesse d’un escargot grabataire,
tantôt vous accélérez, vous décélérez, vous changez de direction,
à la vitesse d’un colibri sous speed
7 septembre 2024 à 10 h 11 min #50660bzoParticipantje me sens tellement en adoration, par moments,
de plus en plus avec l’âge,
en fait, dans 20 jours, très exactement,
je serai à la retraite
et j’emploierai le plus possible mes jours et mes nuits,
à être le plus possible en adoration, à tout moment
en adoration devant les merveilles de la nature,
quoi de plus beau, de plus émouvant, qu’un oiseau
qu’un papillon, qu’un ciel, qu’un ruisseau ou qu’un arbre
en adoration devant la merveille
qu’est un corps humain,
homme ou femme,
de son potentiel d’extases et d’émotions,
diverses et variées,
sans limites
en adoration devant la merveille
même juste que d’être en vie,
même s’il y a une cruauté et une douleur infinies
qui peuvent aussi se mettre en branle,
à tout instant, dans notre quotidien
en l’adoration d’être, donc,
de pouvoir péter, me gratter le cul, rire, manger, baiser,
m’extasier des heures devant un tableau,
foutre les doigts dans une chatte
ou serrer bien fort la hampe d’une trique turgescente
même si l’injustice, ici-bas, est infinie,
autant que la beauté, que l’émotion,
que la jouissance et la volupté
7 septembre 2024 à 10 h 30 min #50661bzoParticipantpiou , j’ai été productif ce matin,
faut dire que les mots m’ont réveillé,
en même temps que les caresses et la houle dans mes reins,
tout cela a tourné ensemble pendant des heures,
je me suis levé inhabituellement tôt, allumé l’ordinateur,
me recouchais, me relevais,
jouissais, jouissais,
pondais des mots, pondais des mots
et le résultat est là devant vos yeux
les mots, c’est mon sperme à moi,
je vous les envoie par giclées à travers les yeux dans le cerveau,
laissez-vous bien aller,
laissez tout cela dégouliner dans tout votre être,
faites-moi plaisir, bandez bandez bien fort un moment,
humidifiez dans votre petit culotte, votre buisson,
touchez-vous, touchez-vous
si je pouvais obtenir déjà ce résultat,
je serai content,
j’en ai une trique glorieuse et persistante, à l’avance,
avec du liquide qui suinte de mon gros gland empourpré,
de vous imaginer le braquemart bien durci au fond du slip en me lisant
ou les lèvres et le clitoris trempés comme une soupe,
plein de délicieux picotements dans les entrailles, grâce à moi
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