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Sujet: Un toy pour le boulot !
Bonjour à tous. Alors voilà je vais faire simple. j’ai un taf ou il peut y avoir énormément d’activité et beaucoup de monde en face de moi, mais également de longs moments de creux ou il n’y a rien a faire et personne. Du coup j’aimerai bien trouver un toy pour s’occuper de mon petit intérieur et me procurer bien du plaisir. J’ai bien essayé un plug, mais bon ce n’est pas fait pour obtenir un orgasme ! Alors si vous connaissez un joujou qui pourrait me faire monter, être porté de façon discrète en étant debout et confortable en étant assis… Je suis preneur ! Après tout pourquoi ne pas transformer ces moments d’attente en moment de détente! Je suis sur que si le taf peut devenir un terrain de jeu, je serai ravi d’aller bosser !
Il s’agit d’un partage d’expérience, celui de l’asmr, qui m’a permis de ressentir les fameux plaisirs prostatiques attendus.
Comme je n’avais pas encore vu faire de lien entre point p et asmr, je suis preneur de toutes vos expériences similaires.
Quelques mots sur l’asmr pour commencer. Ensuite, je décrirais l’expérience.
L’asmr a été assez bien présenté sur un article de rue89, qui pointait que certaines personnes avaient une sensibilité particulière à certains sons et murmures. Il n’y a pas de théorie scientifique pour étayer cette observation. Je vous conseille de lire l’article assez bien fait.
http://www.rue89.com/rue69/2013/08/10/les-asmr-adeptes-lorgasme-cerebral-youtube-244854Mon expérience.
Etape 1 : j’ai écouté certaines videos sur youtube les plus téléchargées et avec un bon rating et j’ai pu constater un effet.
Etape 2 : recherche de video avec les mots clés “asmr orgasm”, puis écoute avec un aneros installée. L’effet produit a été pratiquement fulgurant : la période de détente a été rapidement court circuité par une prise de contrôle de mon corps par lui-même, provoquant des contractions involontaires dès les premières minutes, allant crescendo, jusqu’à une perte de contrôle et un premier orgasme, suivi d’un deuxieme plus long et plus intense…efficace à tel point que des vagues de contractions se sont produites de nouveau après avoir retiré l’anéros.Ce que je retiens :
1. quelques bonnes pratiques essentielles acquises avant cette expérience et qu’il me semble indispensable de suivre (et de rappeler)
– avoir une bonne lubrification (d’ailleurs, anéros a sorti un gel éponyme absolument excellent)
– faire moins que plus : il n’y a rien à perdre avec une contraction trop faible, alors qu’une contraction trop forte peut faire disparaitre le plaisir
– et surtout, écouter ses sensations, les accompagner sans les forcer2. l’asmr m’a permis de court-circuiter le protocole des hypnaerossessions etc. tellement sophistiqué que j’en finissais par tout intellectualiser et perdre de vue l’essentiel, à savoir l’écoute de son corps.
Prochaines étapes : tenter d’autres flux asmr et découvrir le plus performant (aidez-moi à le trouver ! ; pour l’instant, celui là ne me semble pas mal : http://www.youtube.com/watch?v=yHTb4fUHUT4, par geniusbrainpower (no joke !) )
reproduire l’orgasme prostatique sans l’asmr. Je pense que maintenant qu’il est trouvé , ça doit être plus simple, mais je n’ai pas encore tenté le coup.Sujet: Expérience et questions…
Bonjour à toutes et à tous,
J’ai découvert récemment l’Aneros, pour moi l’occasion d’explorer un pan de ma sexualité qui m’a toujours intrigué. J’avais conscience qu’une partie du plaisir venait de là, mais sans jamais réellement “mettre le doigt dessus” si je puis dire 🙂
Ma compagne n’est pas très à l’aise avec cette partie du corps. Elle a compris depuis quelques années qu’elle pouvait avoir beaucoup de plaisir après m’avoir laissé expérimenter un peu et apprécie maintenant qu’on le pratique. Mais elle ne se sent absolument pas d’expérimenter à son tour sur moi. J’ai donc commencé l’expérience seul, avec peu d’informations, car il est difficile d’utiliser les mots clefs liés à tout ça dans les moteurs de recherche sans être inondés de site pornos peu éducatifs…
Je précise que je n’ai jamais réellement essayé de stimuler cette partie de mon corps avant. L’aneros montre le réel début de ce que j’appelle, pour dé-dramatiser “l’expérience” 🙂
J’ai donc expérimenté dans des conditions “relativement” adaptées, et les premières fois ont été étranges, pas forcément désagréable, mais définitivement maladroites:
– La toute première fois, j’ai inséré l’aneros trop profondément…
– Comme j’avais tendance à être très tendu, mes premières tentatives ont été centrées sur la détente. Je voulais me sentir juste “à l’aise” avec l’aneros, ce qui me semblait être un passage obligatoire pour ensuite jouer avec. Une fois, je me suis endormi et réveillé complètement détendu, il était bien en place et plus du tout gênant. Mais les autres fois, j’avais au bout d’un moment un point précis qui devenait douloureux;
Après “analyse”, j’ai découvert une petite, minuscule bavure sur l’objet, positionné exactement à l’endroit ou j’avais mal. Cela confirme que cette partie du corps est extrêmement sensible, car la bavure était presque impossible à sentir au passage du doigt. Je vous conseille donc de bien vérifier sur toute la surface de l’Aneros avant de vous lancer.
– En outre, testé avec plusieurs lubrifiants, j’ai parfois une sensation de “brulure” gênante après insertion. Ce n’est définitivement pas dû au lubrifiant, mais plutôt à environnement. J’ai l’impression que “la brûlure” arrive si je ne suis pas complètement détendu. Si “la brulure” est là à l’insertion, la détente est beaucoup plus longue à venir. Si je devais essayer de définir cette “brulure”, je dirais qu’il s’agit plutot d’une sensation de rejet. Comme si mon corps recevait un signal pour lui dire: Pousse, expulse ce truc qui essaye de rentrer.A ce moment de l’histoire, j’ai donc plusieurs problèmes: Mais pour ne pas finir sur une défaite, j’ai cédé à la tentation de me masturber… ce qui était définitivement agréable, mais à priori pas conseillé.
Puis j’ai tenté l’expérience avec ma compagne, mais elle avait beaucoup de mal à patienter et nous finissions toujours par faire l’amour conventionnellement en laissant l’aneros. Ce qui fut agréable, mais…J’ai donc mis l’aneros de coté un moment, avant de réessayer récemment.
Sur ma dernière session, tout semblait se passer comme prévu. Pas de gêne, détente relativement rapide, puis sensation de plaisir, enfin pas désagréable, quoi.J’ai finalement eu un orgasme sans me masturber, mais je ne pense pas qu’il s’agisse d’un orgasme prostatique.
Le plaisir est venu des mouvements de bassin, l’éjaculation s’est faite par jets (à priori, si j’en crois les témoignages, cela ne devrait pas être le cas), mais je n’étais pas en érection.
Et j’ai ensuite essayé de voir si j’avais une période réfractaire, mais je n’ai pas réussi à le définir réellement.En fait, cet orgasme m’a semblé extrêmement similaire aux rares orgasmes que j’ai eu en dormant lors d’un rêve sexuel.
Bref, pour résumer la situation, l’expérience n’est pas négative, mais pas forcément positive. Je prends du plaisir, mais il est encore délicat d’apprécier toute la démarche. Le temps de détente au début rends difficile l’implication de ma compagne, qui manque de patience et nous ne savons donc pas comment inclure ce jouet dans nos relations, car elle a tendance à avoir une vision relativement conventionnelle de l’acte.
Les éventuelles sensations désagréables à l’insertion ne m’aident pas à réellement me libérer pour l’instant.PS: J’ai depuis le début de l’expérience, découvert votre site, lu avec attention le traité ainsi que certains retour d’expérience, et j’applique avec attention les conseils d’utilisation. Ce qui devrait pouvoir exclure des débats toute mauvaise utilisation. Je pense réellement que les difficultés qu’il me reste à outrepasser sont environnementales plus que pratiques.
Voilà, voilà, mon retour sur expérience sur l’utilisation de l’aneros et de ma découverte du plaisir anal.
Maintenant, je file me cacher, car il n’est pas facile de témoigner comme ça sur un sujet aussi personnel 🙂 Mais ça va, on est entre nous, là 🙂