j’ai eu une nuit absolument magique. À chaque fois que me réveillais, je laissais aller mes mains sur mon corps et j’étais pris d’une vague de plaisir salvatrice. Une sensation de plénitude qui se diffusait doucement dans tout le corps et qui durait plusieurs minutes avant de s’éteindre lentement.
me rappelle irrésistiblement ma pratique en mode yin, ces phrases
Mais après il y a une différence entre provoquer sa prostate et être appelé par sa prostate.
c’est sûr, moi je la provoque, je la fais réagir, je ne l’attends pas,
encore que, suis pas si sûr, au fond.
Je la provoque mais ne m’a-t-elle pas incitée à le faire?
En tout cas, je vais la chercher ou elle me fait aller la chercher, va savoir
le corps et l’esprit, leur interaction quand en selle sur le désir,
cela devient mystérieux, je trouve,
suis jamais vraiment sûr, à partir d’un moment, qu’est-ce qui vient d’où,
où est l’origine d’une telle chose ou d’une autre
cependant, cela ne me dérange pas outre mesure,
c’est signe pour moi de leur fusion, de leur complicité, de plus en plus grandes
dans les moments de plaisir
un tout, une seule entité, une seule unité
où tout collabore, tout interagit, tout se questionne, tout se répond
ne formant plus qu’un,
le corps et l’esprit, dans les moments de volupté,
c’est ainsi que cela devient démesurément splendide